9 diplômés sur 10 de la promotion 2024 en emploi 5 mois après la fin de leur cursus ingénieur à l’ENSAI
Le recrutement des ingénieurs diplômés de l’ENSAI est rapide à la sortie de l’école. Malgré un contexte économique toujours incertain et un ralentissement du recrutement des cadres, soulignés par la dernière enquête insertion de la Conférence des grandes écoles (CGE), l’ensemble des indicateurs est favorable à la dernière promotion d’Ensaiens.
Les résultats – délai d’obtention de l’emploi, type de contrat et salaire – montrent cette année encore que la formation scientifique et opérationnelle des diplômés du cursus ingénieur de l’ENSAI répond clairement aux besoins des entreprises.
De très bonnes conditions d’emploi
La durée de recherche d’emploi est courte : 85 % des postes sont trouvés moins de deux mois après l’obtention du diplôme et 70 % avant même l’obtention du diplôme.
Plus de la moitié des diplômés en emploi (56 %) déclare avoir été embauché à la suite du stage de fin d’études.
86% diplômés en emploi occupent un CDI. Parmi les intitulés des postes les plus récurrents de la promotion 2024 : data analyst, risk analyst, data engineer, biostatisticien, chargé d’étude… Un poste se distingue toujours au fil des ans, représentant 32% des recrutements : data scientist. A noter cette année, l’émergence de l’ingénieur en intelligence artificielle.
Un salaire moyen supérieur au salaire moyen des diplômés de l’ensemble des écoles d’ingénieur
La forte demande de spécialistes en science des données maintient les rémunérations à un très bon niveau. Avec 46 790 € brut annuel (en France, avec primes), le salaire des diplômés 2024 de l’ENSAI se situe plus de 4600€ au-dessus du salaire moyen de l’ensemble des diplômés des écoles d’ingénieur françaises.
Source : l’Enquête Insertion des jeunes diplômés, une référence pour les Grandes écoles
Depuis 1993, l’enquête de la Conférence des grandes écoles fournit un ensemble d’indicateurs permettant d’évaluer l’adéquation des formations délivrées par les grandes écoles avec le marché du travail. Coordonnée et supervisée par l’ENSAI pour le compte de la CGE, elle est réalisée par les écoles elles-mêmes au cours du premier trimestre et décrit l’insertion professionnelle des trois dernières promotions. En 2025, 204 écoles ont participé à l’enquête de la CGE.
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